Matt DAMON
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2000
Film "La mémoire dans la peau", Doug Liman.
Matt DAMON
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2000
Film "La mémoire dans la peau", Doug Liman.
Bernadette LAFONT
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
"Le livre des morts de Belleville"
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage de Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Jérôme KIRCHER
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
"Le livre des morts de Belleville"
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage de Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Jérôme KIRCHER
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Jérôme KIRCHER
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
"Le livre des morts de Belleville"
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage de Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Jérôme KIRCHER
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
"Le livre des morts de Belleville" -
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage de Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Jérôme KIRCHER
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
"Le livre des morts de Belleville"
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage de Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Bernadette LAFONT
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Mélisandre MEERTENS
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2006
Moyen métrage "Le livre des morts de Belleville", Jean-Jacques Joudiau - TARANTULA production
Thierry BECCARO
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2007
"C'est pas grage", court métrage de Yacine SERSAR.
"C'est pas grave"
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2007
Court métrage de Yacine SERSAR
"C'est pas grave"
L'image au cinéma, une fois faite, n'appartient plus au photographe. Elle mène sa propre vie. Le photographe est un témoin privilégié. Il capte la scène mais ne la crée pas, il ne la compose pas. Il retient du flux d'instants, une vie immobile, une image.
© Nathalie Barrus - 2007
Court métrage de Yacine SERSAR